Conseil communal du 5 décembre 2011 (suite)

(Compte-rendu publié dans l'Annonce de Vielsalm du 23 décembre 2011)

Intercommunale Vivalia, avenir de l'hôpital de Bastogne, site unique MR-MRS

Comme je l'ai indiqué dans la première partie de mon compte rendu, le Conseil communal doit se prononcer sur les ordres du jour des intercommunales et notamment sur leur vision stratégique et leur budget pour 2012.

C'est notamment le cas pour l'intercommunale Vivalia.

Elie Deblire : « A l'heure actuelle, il y a des débats très importants au niveau de Vivalia et vous devez savoir que tant Jacques Gennen que moi-même, nous les suivons de très près.

Demain encore, une séance du conseil d'administration sera consacrée au dossier stratégique de Vivalia 2015 et bien sûr à l'avenir de l'hôpital de Bastogne. Je ne vais pas trop m'étendre sur le sujet.

Les administrateurs que nous sommes ont été interpellés par les médecins et le personnel quant à l'avenir de l'hôpital.

Nous avons été également interpellés par nos médecins généralistes qui plaident pour que les choses restent en l'état. On fait du bon boulot à Bastogne. 

C'est vrai que l'on a du souci pour l'hôpital. Il y a des problèmes de recrutement de médecins. Il y aussi des problèmes d'agrément pour le service des urgences.

Nous devons faire tout notre possible en tout cas pour garder un maximum de services hospitaliers à Bastogne.

Le budget 2012 de Vivalia présente un déficit de 1,5 million d’euros. Si on y ajoute le coût de l'aide médicale urgente, on atteint un déficit de plus de 5 millions d'euros.

Il y a bien sûr eu des réactions devant un tel déficit. Le conseil d'administration a quand même approuvé le budget 2012 tout en mandatant l'équipe dirigeante pour trouver des pistes d'économies.

Heureusement, l’avenir de notre polyclinique n’est pas remis en question et, en ce qui concerne notre projet de site unique MR-MRS à Vielsalm, le dossier suit son cours.

Un comité de suivi et d'accompagnement a été créé pour suivre le projet et être aux côtés du personnel de la MRS Saint-Gengoux et du Home de Provedroux.

Il est présidé par Jacques Gennen. C'est une bonne chose.

L'objectif est toujours d'avoir une construction terminée début 2015.

Vous connaissez nos préoccupations : l'avenir de l'hôpital, l'organisation de l'aide médicale urgente et la maîtrise du budget de Vivalia pour lequel nous devons aussi tenir compte de l'impact du coût des pensions et des mesures budgétaires fédérales.

Enfin, à Vielsalm, dans un contexte difficile, on peut se réjouir que notre projet de site unique MR-MRS ne soit pas remis en cause ! »

Jacques Gennen : « Elie Deblire a bien situé les enjeux. Je n'ai pas grand-chose à ajouter. C'est vrai que l'on doit faire face à une restructuration du paysage hospitalier.

Notre préoccupation est évidemment de conserver un maximum de services hospitaliers et de proximité à Bastogne.

Une bonne organisation de l'aide médicale urgente est évidemment une préoccupation majeure pour nous car c'est une priorité pour beaucoup d'habitants.

Quant au dossier du site unique MR-MRS, je peux vous dire avec ma casquette d'administrateur de Vivalia et avec celle de collaborateur de la ministre Eliane Tillieux, qu’il évolue bien.

En qui concerne le budget de Vivalia, nous devons y être d'autant plus attentifs que les dépenses de personnel constituent près de 80 % des dépenses et qu'il n'est pas question d'y toucher ! »

Pascal Zinnen indique que pour avoir un outil hospitalier fiable, il faut faire des choix comme cela a été fait pour le site unique MR-MRS.

Il poursuit : « On sera peut-être amené à faire des choix douloureux. Notre préoccupation, c'est de garder des soins de première ligne : les polycliniques, l’aide médicale urgente,les médecins généralistes.

Il ne faut pas perdre de vue notre caractère rural et le fait que notre isolement peut nous mettre en difficulté en cas de catastrophe.

Il faut garder des services efficaces en matière d'aide médicale urgente tout en ayant l'esprit qu'on ne peut pas faire du tout à l'hélico ! »

Elie Deblire : « Nous avons encore de la chance, à Vielsalm et dans les communes voisines.

Nous pouvons compter sur le SMUR de Bastogne, le SMUR de St-Vith et l’hélico de Bra.

D'autres sont moins bien lotis que nous. Nous devons continuer à nous battre pour que les interventions en aide médicale urgente se fassent dans l'intervalle libre de 15 minutes. »

Jacques Gennen : « Il est évident que le Centre Médical Héliporté de Bra est un outil exceptionnel et nous savons bien qu'il doit être apprécié comme un outil qui intervient en complément des services d'urgence terrestres. »

François Rion, s'adressant à Elie Deblire et Jacques Gennen : « On se réjouit que la polyclinique St-Gengoux ne risque rien.

Pour les soins de proximité, l’hôpital de Bastogne est vraiment très important. On vous encourage tous les deux à faire le maximum pour garder de tels services de proximité ! »

Après une dernière intervention de Malou Joye qui souligne l'importance de pouvoir compter sur l'intervention rapide des services d’aide médicale urgente, on passe au vote et c'est l'unanimité pour approuver l'ordre du jour et notamment le plan stratégique et le budget 2012 de l'Intercommunale Vivalia.

(Photo prise lors d'une manifestation en faveur de l'hôpital de Bastogne)

Plan stratégique et budget 2012 de l'Intercommunale AIVE

Le Conseil communal est également amené à se prononcer sur l'ordre du jour de l'assemblée générale de fin d'année de l’Intercommunale AIVE, sur son budget et son plan stratégique pour 2012.

L'Association intercommunale pour la protection et la valorisation de l'environnement (AIVE) a en charge la protection et la valorisation de l'environnement au travers de deux priorités : la protection des ressources en eau et l'assainissement des eaux usées d'une part et, d'autre part, la gestion des déchets ménagers et industriels.

Pour ce qui est des déchets, les actions de prévention, de collecte, de traitement, de recyclage et de valorisation sont gérées par le secteur « Valorisation et propreté » créé au sein de l’AIVE.

Cette dernière se veut également conseillère des communes pour tous les problèmes qu’elles connaissent dans ses domaines de compétence.

Dans son intervention, Elie Deblire rappelle les missions principales de l’AIVE  et évoque le projet de création d'une station d'épuration à Grand-Halleux.

Un accord est intervenu sur l'emplacement : ce sera en aval de Grand-Halleux et du terrain de camping, en face des établissements Detrembleur. Il espère que les travaux pourront commencer en 2012.

Sur question d'Antoine Becker, Elie Deblire confirme qu’à partir de janvier 2012, c'est la société Remondis qui collectera les sacs-poubelles. Une information va paraître dans le SALMinfo de décembre 2011.

Elie Deblire : « Idelux se préoccupe évidemment de la possibilité pour les travailleurs occupés actuellement à la collecte de préserver leur emploi.

Idelux sera également attentive à une bonne adaptation de la nouvelle firme aux tournées habituelles. »

Jean Gilson se réjouit du choix de l'emplacement de la station d'épuration, les habitants de Grand-Halleux n'étant pas du tout disposés à accepter son implantation au milieu du village, comme il en avait été question.

François Rion estime que c'est également un bon choix d'implantation et il poursuit : « Je suppose qu'il y a eu une bonne analyse notamment quant aux risques d'inondation puisque la station sera érigée dans une zone inondable.

Pour ce qui est du plan stratégique et du budget 2012 de l’AIVE, nous estimons que l'Intercommunale a toujours été d'un bon conseil.

Nous ne voterons pas négativement mais nous nous abstiendrons vu le bon boulot qu'elle effectue et les conseils qu’elle nous a notamment donnés en matière de production d’eau. »

Au vote, l'ordre du jour de l'assemblée générale de l'AIVE et notamment son plan stratégique et son budget 2012 sont approuvés par 16 voix pour et deux abstentions (François Rion et Catherine Désert).

Travaux à l'ancienne maison communale Grand-Halleux

Les travaux de réhabilitation de l'ancienne maison communale de Grand-Halleux se poursuivent.

Il s'agit aujourd'hui d'approuver le cahier spécial des charges du marché de travaux pour le renouvellement de l'installation électrique dont le coût est estimé à 6939 euros hors TVA.

C'est l'occasion pour Antoine Becker de s'inquiéter de la suite réservée par le Collège au projet de musée Jacques de Dixmude défendu notamment par Bruno Drouguet.

Elie Deblire lui répond que ce projet n'est pas perdu de vue par le Collège et que des propositions seront faites dès que des locaux seront rendus disponibles dans un des bâtiments de l'ancienne caserne des Chasseurs Ardennais.

Jean Gilson s'inquiète de la possibilité de garder un local de réunion au premier étage de l'ancienne maison communale.

Jean-Pierre Bertimes lui répond que cela pourra se faire dans un des locaux de l'école communale en cas de nécessité.

Au vote c'est l'unanimité pour approuver le cahier spécial des charges et le choix de la procédure négociée sans publicité comme mode de passation du marché.

Mobilier urbain et achat de cendriers muraux

Le Collège a inscrit la Commune en urgence dans un marché groupé organisé par la Cellule Développement durable de la Province de Luxembourg et l’AIVE en vue d’acquérir des cendriers muraux.

La délibération du Collège est inscrite à l’ordre du jour pour simple communication au Conseil communal.

Sur question de Jean Gilson, Elie Deblire précise que ce marché permet aux communes d’acquérir au meilleur prix des cendriers appelés aussi « de rue » au prix unitaire de 93,45 euros hors TVA. La Commune en a commandé 60.

Catherine Désert s'étonne du nombre de cendriers et rappelle que quand ils sont remplis, il faut encore les vider…

Elie Deblire et Jean Briol lui répondent que la Commune compte aussi sur la collaboration des commerçants.

Elie Deblire : « La volonté est aussi d'uniformiser le matériel urbain et ramener un peu de propreté sur les trottoirs. Il y a des mégots partout ! »

François Rion : « Si je comprends bien, on va en placer sur certaines façades comme celles des établissements Horeca ? »

Elie Deblire : « Oui, avec leur accord… »

François Rion : « C'est donc une demande d'aide du secteur Horeca… »

Elie Deblire : « Pas seulement, il y a aussi les autres commerçants. Mais c'est vrai que c'est aussi une manière de les aider, d'être à leurs côtés. »

Cette dernière intervention clôt le débat sur ce point.

Subsides à certaines associations

Les subsides qui suivent doivent faire l’objet d’une approbation spécifique par le Conseil communal. Les bénéficiaires sont soumis au contrôle de la Commune pour leurs comptes et budgets.

Le Conseil communal approuve à l'unanimité l'octroi des subsides suivants :

- 8500 euros à l'ASBL Bibliothèque publique ;
- 4800 euros au profit du Centre d'Expression et de Créativité (CEC) La Hesse ;
- 12.500 euros à l'ASBL Centre de Secours Médicalisé de Bra-sur-Lienne ;
- 3250 euros à l'ASBL KadriCulture (cette ASBL fait office pour l'instant de centre culturel pluricommunal pour les communes de Lierneux, Stoumont, Trois-Ponts et Vielsalm) ;
- 5000 euros à la Maison du tourisme ;
- 70.000 euros au Secteur « Développement touristique du centre-ville » de l’Intercommunale Idelux-Projets publics afin de couvrir l'intervention communale dans le déficit d'exploitation de la Maison du Pays de Salm (ex-Archéoscope) ;
- 2560 euros à la Médiathèque de la Communauté française (Fédération Wallonie-Bruxelles) ;
- 6198 euros à l’ASBL Le Miroir Vagabond ;
- 16 000 euros à l’ASBL Val de Glain, Terre de Salm (chargée notamment de la gestion du Musée du Coticule) ;
- 4500 euros à l’ASBL Les P’tits Soleils (service d’accueil d’enfants) ;
- 18 634 euros au Syndicat d’initiative ;
- 13 000 euros à l’ASBL Vie Action Laïque ;
- 1500 euros au Comité des fêtes de Vielsalm.

A propos du déficit de la Maison du Pays de Salm (ex-Archéoscope)

L’octroi du subside de 70.000 euros dont il vient d'être question est l'occasion d'un débat sur le déficit de la Maison du Pays de Salm.

C'est Catherine Désert qui lance le débat en interrogeant le bourgmestre sur le pourquoi d'un tel déficit et sur les relations qui existent entre la Maison du Pays de Salm, le Syndicat d’initiative et la Maison du Tourisme.

Elie Deblire rappelle que ce sont effectivement trois entités juridiques différentes. La Maison du tourisme joue un rôle de promotion de la Commune et de ses richesses touristiques tandis que le rôle du Syndicat d'initiative se concentre essentiellement sur le territoire communal.

Elie Deblire : « Ce sont quasiment les mêmes personnes qui se trouvent dans les deux conseils d'administration.

Le Syndicat d'initiative a deux employés tandis que la Maison du tourisme emploie une personne.

Une des deux employées du Syndicat d'initiative est mise à disposition de la Maison du Pays de Salm. Cette dernière est gérée par le Comité de secteur « Développement touristique du centre-ville » qui comprend des représentants d'Idelux et de la Commune.

Le Comité de secteur affecte également une personne à la gestion de la Maison du Pays de Salm.

Le subside de 70.000 euros couvre une bonne partie des déficits des années antérieures.

On enregistre l'heure actuelle un déficit global de 30.000 euros par an. On a pris du retard dans l'apurement des déficits.

Fin 2010, le déficit cumulé était de 58.863 euros. Il faudra de nouveau prévoir un subside de 70.000 euros en 2012. »

Jacques Gennen : « Le nombre de visiteurs de la Maison du Pays de Salm est malheureusement insuffisant.

Je rappelle que ce projet a été adopté à l'unanimité du Conseil communal dans les années 90.

C'est vrai qu'à la fin de la législature précédente, on n'a pas prévu suffisamment de crédit budgétaire au budget de certaines années pour couvrir le déficit.

On n'en connaissait pas toujours le montant et puis surtout, on espérait que d'année en année, au vu des efforts déployés par les gestionnaires, le nombre de visiteurs allait augmenter.

Cela n’a malheureusement pas été le cas. Je veux aussi rappeler qu'au début des années 2000, Idelux a imposé à la Commune de prendre en charge la totalité du déficit

Catherine Désert estime que l’on devrait inciter davantage les habitants de la Commune à visiter la Maison du Pays de Salm.

Elie Deblire lui répond que cela ne changerait rien sur le plan financier car pour les habitants de la Commune, l’entrée est gratuite.

Stéphanie Heyden précise que beaucoup d'animations sont organisées à la Maison du Pays de Salm pour les écoles de la Commune et d'autres communes.

Jacques Gennen : « Il ne doit plus guère y avoir d'habitants, d'enseignants et de parents de la Commune qui ignorent qu'ils peuvent visiter un bel espace-musée consacré à notre passé industriel ! »

Marie-Jeanne Zitella-Renquin évoque l'intérêt que des classes de découverte et de dépaysement pourraient avoir pour la Maison du Pays de Salm.

Elie Deblire : « On n'imagine pas les efforts qui sont réalisés pour améliorer la fréquentation. On essaie d'avoir des produits groupés avec le parc Chlorophylle et Houtopia.

On nous fait souvent le reproche qu'il n'y a pas de cafétéria à proximité. C'est notamment une demande des personnes âgées.

C'est pourquoi la Commune défend le projet de créer un espace dans le corps de logis de l'ex-maison Payon pour pouvoir y prendre un café et y déguster un produit du terroir.

Il faut, comme le soutient Sylvie Lejeune, la directrice de la Maison du Tourisme, élargir l'offre.

C'est pourquoi l’idée a aussi été lancée de créer un jardin des sens. Pour tout cela, il faut du temps et de l'argent…

Il faut maintenir l'outil. Si on supprime la Maison du Pays de Salm, c’est aussi une aide en moins pour le Syndicat d'initiative et la Maison du tourisme car les trois entités sont étroitement associées dans leur travail et un emploi au moins disparaîtra. »

Marie-Jeanne Zitella- Renquin évoque le succès du musée de Recht.

Jacques Gennen : « C'est vrai mais n'oublions pas qu'il bénéficie du cadre naturel d’une ancienne exploitation de schiste ! »

Marie-Jeanne Zitella-Renquin : « D’accord mais il serait intéressant d'avoir des synergies. On pourrait imaginer trois visites dans la même journée, à Recht, au musée de Poteau et à la Maison du Pays de Salm. »

Elie Deblire trouve l'idée intéressante et évoque l’avis qui pourrait être demandé à José Burgeon.

Il est vrai que ce Salmien qui gère le parc Chlorophylle a une excellente expertise sur le plan touristique.

François Rion fait référence aux propos de Jacques Gennen lorsque ce dernier a évoqué le désengagement d’Idelux dans les années 2003-2004 : « Je suis étonné des retards qu'il y a eu à l'époque dans l'apurement du déficit. De plus, Idelux a laissé tomber la Commune et lui réclame à présent sa part de pertes ! »

Elie Deblire ne partage pas ce point de vue et précise que c’est Idelux qui a obtenu les subsides sans contrepartie de la Commune. Il ajoute : « Quand le projet a été monté, les visites n'ont pas suivi. La Commune a toujours dû assumer le déficit. Il y avait en 1998, 7500 visiteurs et en 1999, 8830. En 2010, il y a eu seulement 4843 visiteurs.

Certaines années, rien n'a été versé à l'Intercommunale alors que la Commune a bénéficié de la vente du terrain pour la boulangerie Wilmet en 2004 et de certaines interventions ministérielles. »

Jacques Gennen : « Je ne veux pas polémiquer avec le bourgmestre sur ce point. Je confirme qu’Idelux a remis en cause la solidarité dans la prise en charge des déficits et a les a fait prendre entièrement en charge par la Commune.

C'est vrai que pendant deux ou trois ans, l'on n'a pas toujours pris en compte le montant précis des déficits et versé l'intervention communale.

Comme je l'ai déjà dit, on espérait au vu des gros efforts et des initiatives des gestionnaires, que les choses allaient s'améliorer l'année suivante. Cela n'a pas été le cas ! »

Cette dernière intervention clôt le débat sur ce point.

Les comptes et budgets des fabriques d’église

Antoine Becker, à propos des comptes 2010 des fabriques d’église de Neuville et de Grand-Halleux: « Je vais encore me faire excommunier mais je vote contre car les dossiers ne sont pas complets. La liste des droits de fermage n’est pas jointe ! »

François Rion : « Attendez-vous à ce qu’un jour, je vote comme Antoine qui fait montre d’une belle obstination ! »

C’est l’unanimité moins un vote négatif (celui d’Antoine Becker) et l’abstention de Pascal Zinnen pour émettre un avis favorable sur les comptes 2010 des fabriques d’église de Neuville et de Grand-Halleux.

Par contre, c’est l’unanimité pour émettre un avis favorable sur le budget 2012 de la Fabrique d’église de Commanster.

Autres décisions (à l’unanimité)

-    Vente par soumission de matériel communal hors d’usage
-    Marché public de fourniture pour l’acquisition d’une déchiqueteuse
-    Intervention communale dans le coût de l’acquisition de terrains industriels par des artisans et des petites entreprises (application du règlement communal en faveur de Messieurs Bairin et Lallemand)
-    Prime communale à la fréquentation du parc à conteneurs (même règlement qu’en 2011)
-    Taxe communale sur les pylônes et mâts affectés aux systèmes d’émission et de réception des signaux de communication par voie hertzienne (antennes GSM)
-    Adoption d’un douzième budgétaire provisoire (dans l’attente de l’adoption du budget 2012)
-    Marché public de fourniture pour le placement et le renouvellement d’abribus

Jacques Gennen